La peinture : outil de langage, vecteur d’expression ou comment le réel se manifeste au travers de l’imaginaire
Réflexions au sujet de la mise en œuvre d’un atelier d’arts plastiques pour les élèves de sa classe de CP à Saint-Ouen.
Une texture à trous, réflexions à partir de l’œuvre de Lucio Fontana
Cette réflexion personnelle fait suite au travail que j’ai mené avec d’autres membres de cartels de passe en 2017 et s’appuie sur l’œuvre de Lucio Fontana. Elle est à la fois impressions et désir de transmettre à l’Ecole une trace de cette expérience, sans pour autant révéler les signifiants des passants ni les arcanes de chaque passe.
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4’33’’ de John Cage, du silence du dire aux dires du silence… mais encore ?
Expression artistique du sonore, la musique met en jeu, par-delà l’oreille, l’écoute et l’audition, l’entendement des sons, ces bruits opposés au silence, sonorités depuis le silence et jusqu’au silence. Pour évoquer le corps de l’art sonore en lien avec la psychanalyse, j’ai choisi une œuvre contemporaine, expérimentale et emblématique intitulée 4’33’’ de John Cage.
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Léonard-Freud, deux œuvres à l’œuvre, du phallique à la sublimation
En lien avec le séminaire « Quels enjeux du phallique ? » dispensé au sein de l’École de psychanalyse Sigmund Freud (EpSF), nous avons tenté de mettre en exergue les occurrences du signifiant phallus « Un souvenir d’enfance » de Freud et, partant de là, ouvrir la réflexion à des investigations plus larges sur l’œuvre Sant’Anna Metterza de Léonard de Vinci.
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Fantasme, dette, culpabilité et faute au travers de l’œuvre « Les frères Karamazov » de Fiodor Dostoïevski
Ce travail a été réalisé dans le cadre d’un cartel intitulé « Dette et culpabilité, un même signifiant : Schuld » composé de plusieurs membres. L’objectif en était de montrer le désir du meurtre du père et l’intrication entre la dette et la culpabilité chez les fils.